Hello !
Je souhaitais vous présenter aujourd’hui une série brésilienne sortie fin Novembre sur Netflix : 3%. J’ai commencé à la regarder en début de semaine, et je suis déjà fan. Finalement beaucoup plus fan que Westworld que j’adorais au début, mais qui n’a pas su me captiver tout au long de la première saison.

En voici un synopsis (allociné) :
3% nous plonge dans une société dystopique divisée en deux : d’un côté les riches (3% de la population) et de l’autre les pauvres. Pour pouvoir accéder à la plus haute strate, les participants n’auront le droit qu’à une seule chance et se départageront autour d’épreuves. Mais seulement 3% d’entre eux arrivera au bout…
Alors oui, encore une série dystopique, et qui m’a rappelé dès les premières minutes un doux mélange de tout ce qui est déjà sorti sur le sujet : The Island, Hunger Games (encore et toujours), Divergente, ou encore Le Labyrinthe etc, etc. Il existe énormément de films qui choisissent ce thème, et de plus en plus de séries aujourd’hui.
Mais je trouve que 3% réunit tous les critères et exigences de ce type de société futuriste que personne n’espère voir émerger un jour, et ne tombe pas dans la banalité des gentils pauvres qui subissent contre les méchants riches qui gouvernent.
Ce que j’ai bien aimé c’est que la série démarre tout de suite, et ça va vite. Dès les premières minutes du pilot, le Processus débute, on rentre tout de suite dans le vif du sujet.
Ce que j’ai beaucoup aimé aussi c’est que l’on ne fait pas de focus inutile sur les personnages, on les découvre au bon moment, dans l’action, petit à petit. Leur profil psychologie se dessine et prend forme au fur et à mesure, et chaque personnage est complexe et digne d’intérêt ; que cela soit du côté des pauvres, ou de celui des riches.
Enfin, ce que je trouve intéressant et qui tient en haleine, c’est de savoir que les candidats, en réalisant le processus, sont parfaitement conscients des exercices et des différents buts de ces mises en situation, mais que même en luttant contre, la nature humaine de chacun reprend forcément le dessus, et pousse à montrer le meilleur comme le pire de chacun.
Une sorte d’expérience sociologique glaçante, qui vaut vraiment le détour !
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